Mont Mercure

Le Mont Mercure est a 30 km au sud de Contrexeville, a cote du site Gallo-Romain d'Andilly.

Le Mont Mercure près d'Andilly offre l'étonnante particularité de donner naissance à des ruisseaux dont les uns se jettent dans la Marne (Bassin de la Manche), d'autres dans la Meuse (Bassin de la Mer du Nord), tandis que certains alimentent des affluents de la Saône (Bassin de la Méditerranée).

Nous allons prelever de la terre du Mont Mercure qui sera melangee a des echantillons de terres venant d'un grand nombre de lieux symboliques de la planete dans un Mandala de paix et d'unite qui sera fait au pavillon Thibetain d'Auroville, en Inde.
Le Projet vient des groupes d'Auroville International qui se sont reunis au Canada et qui desiraient un geste symbolique a l'occasion du 40e anniversaire d'Auroville.
Lors de l'inaugration d'Auroville, le 28 Fevrier 1968, il a ete mis de la terre de 140 pays et de tous les etats de l'Inde dans une urne, au lieu de paix et d'harmonie pour l'humanite situe au centre d'Auroville.
Pour le 40eme anniversaire d'Auroville, le groupe d'Auroville International propose :
"Se référant à l’inauguration d’Auroville en 1968, nous souhaitons rassembler une collection d’échantillons de la terre entière provenant de centaines ou peut être de milliers d’endroits différents, idéalement toutes régions du monde, lieux de signification particulière, sites sacrés, terre noire, rouge, blanche ou jaune, afin de les intégrer avec la terre d’Auroville et des villages avoisinants pour la création d’un mandala ( terme sanscrit signifiant cercle ) de Paix et d’Unité. Symbolisant la toujours changeante nature de la réalité, il sera disséminé, comme il est fait avec les mandalas tibétains, le 28 février 2008 à l’occasion d’une cérémonie. Ce mélange de terre de toutes provenances repartira dans le monde entier.
Des terres de soixante seize pays différents sont d’ores et déjà collectées ."
Pour cette sortie, Francine FINCK, responsable a Auroville International France espere pouvoir se joindre a nous, j'espere bien aussi la presence d'autres membres de Terrae, dont le nom signifie "terre" et qui ont ete tres present et aidants pour ma conference sur Auroville

"TERRE TERRES! Auroville champ d’expérience. Tandis qu’Auroville et sa charte continuent à interpeller nombre de personnes à travers le monde transmettant un formidable message d’espoir, à l’aube de son quarantième anniversaire, Auroville traverse – une crise des terres- exercice difficile mais peut être bénéfique sur le chemin de son évolution. La mondialisation est en marche ,aux portes d’Auroville. En réponse à cette menace, il y a comme une nécessité d’un regard « outside the box » (en dehors de la boite) selon l’expression d’un Aurovilien. L’idée a germé simultanément à Auroville et parmi ses instances internationales de créer un événement symbolique fort pour fêter cet anniversaire."

Francis M

Sortie du dimanche 13 janvier au matin
Repas du midi pris ensemble, nous étions une trentaine a profiter de ce moment chaleureux. Olivier d'Icarie notre troubadour nous a charmé de sa musique.
Fête du Gui et du Houx
Dimanche 16 décembre
Leon Raoul Hatem a Paris
Suite a la 1ere rencontre avec lui, un 2eme voyage a ete prevu le week end du 17 au 18 novembre 2007.
Le samedi:
Atelier orgonite à 14 h sur Paris
Soirée a la rencontre d'Amma.
Le dimanche apres 14 h rencontre avec M HATEM.
Pour en savoir plus sur le moteur a aimant:
http://quanthomme.free.fr/qhsuite/hatemCUdu%20brevet.htm
Fête de Samaïn
dans les Vosges le jeudi 1er nov.
6 personnes du groupe ont participer à une fête celte de la toussaint.

Historique de cette fête:
Vivants et morts cohabitent le premier jour d'automneAvant l'ère chrétienne, les populations celtes qui peuplaient l'Irlande, la Grande-Bretagne, le nord et l'ouest de la Gaule, célébraient le Samain ou Sahmain à la fin du mois d'octobre. Les tribus irlandaises vivaient normalement dispersées, et les sanctuaires étaient en même temps des champs de foire sans rien qui impliquât un culte permanent. La population se réunissait au centre politique et religieux des tribus (lieu où sont les tombeaux des ancêtres) et aux dates de fêtes. Il y en avait quatre principales : le 1er novembre, Samhain, marque la fin de l'été (Samos) et probablement le début de l'année. Six mois plus tard, le 1er mai, au commencement de l'été (cet-saman), tombe la fête de Beltene, ou du feu (tein) de Bel ou Bile. Entre les deux se placent à trois mois d'intervalle les fêtes de Lugnasad (mariage de Lug) le 1er août, et celle de Oimele ou Imbale le 1er février.
C'étaient surtout des assemblées religieuses, qui se déroulaient dans une atmosphère de mythe et de légende. On racontait qu'à Samhain s'était livrée entre les Fomore (les gens de l'autre monde) et les Tuatha Dé Danann la grande bataille des dieux, la bataille de Mag Tured. A cette date aussi le roi Muiccetach Mac Erca, ayant enfreint les défenses imposées par une fée qu'il avait épousée, fut assailli par les fantômes, et pendant que la fée mettait le feu à son palais, se noya comme Flann dans un tonneau. Le héros Cuchulainn lui-même meurt le premier jour d'automne. Les périodes de fêtes sont des périodes pendant lesquelles les esprits sont lâchés, le miracle est attendu et normalement réalisé.

Du Samain à Halloween, de la Toussaint à la Fête des morts
Sous la domination romaine, le Samain, fêté par les Gaulois, subit l'influence des célébrations en vigueur au mois d'octobre chez les conquérants pour fêter les morts : les feralia. Elles se passaient comme les nôtres en plein air. Les sanctuaires étaient fermés en effet pendant les feralia ; toute cérémonie était suspendue ; il semblait qu'il n'y eût plus d'autres dieux que les mânes des défunts présents sous terre. Aussi leurs tombes étaient-elles le rendez-vous de toute la population des campagnes et des villes. On les jonchait de fleurs et de couronnes ; on y joignait des épis, quelques grains de sel, du pain trempé dans du vin pur. Le reste de la journée s'écoulait en prières et en commémorations.

On voit que notre Fête des trépassés (qui elle, se déroule le 2 novembre et dont l'institution se fera plus tard, au XIe siècle) ressemble singulièrement aux feralia des Latins. Et, de même, nous leur avons emprunté la fête qui précède le jour des morts et que nous appelons La Toussaint. Dans l'ancienne Rome, cependant, cette fête, qui s'appelait les caristia, suivait le Jour des morts au lieu de le précéder.

Ovide nous a laissé une description charmante des caristia : « Après la visite aux tombeaux et aux proches qui ne sont plus, il est doux de se tourner vers les vivants ; après tant de pertes, il est doux de voir ce qui reste de notre sang et les progrès de notre descendance. Venez donc, cœurs innocents ; mais loin, bien loin, le frère perfide, la mère cruelle à ses enfants, la marâtre qui hait sa bru, et ce fils qui calcule les jours de ses parents obstinés à vivre ! Loin, celui dont le crime accroît la richesse et celle qui donne au laboureur des semences brûlées ! Maintenant, offrez l'encens aux mânes de la famille ; mettez à part sur le plateau des mets arrosés de libations, et que ce gage de piété reconnaissante nourrisse les lares qui résident dans l'enceinte de la maison ! »
Pour en savoir plus: www.france-pittoresque.com/traditions/62-2.htm